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【外部リンク】
Disruption (économie)
Erik Bovin : /* Usage pour l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République */
Le terme a également été utilisé pour désigner l'élection d'[[Emmanuel Macron]] lors de son [[élection présidentielle française de 2017|élection à la présidence de la République en 2017]].
== Concept économique ==
Selon les sources, la primauté de la théorisation revient à <ref name="TransformationIrréversible">Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref><ref name="TerroriseGrandesEntreprises"/> ou à [[Jean-Marie Dru]]<ref name="FaitSonChemin">Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref><ref name="ExpliquéCréateur"/>, qui publient chacun un ouvrage sur le concept dans la seconde moitié des années 1990. Jean-Marie Dru en fait d'ailleurs une [[marque déposée]] dès 1992 dans 36 pays, pour le compte du réseau d'agences [[TBWA|BDDP]] (devenu TBWA) qu'il dirige<ref name="FaitSonChemin"/><ref name="ExpliquéCréateur">Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>.
Clayton M. Christensen définit l' , mais en l'ouvrant au plus grand nombre}}<ref name="TransformationIrréversible"/>. De son côté, Jean-Marie Dru la définit comme <ref name="FaitSonChemin"/>. Il indique que Clayton M. Christensen donne une définition plus restrictive que la sienne : ; selon lui, Christensen exclut ainsi des <ref name="ExpliquéCréateur"/>.
Le concept est rapproché de la [[destruction créatrice]] théorisée par [[Joseph Schumpeter]]<ref name="ImposeLoi">Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>. Clayton M. Christensen estime toutefois que <ref name="TransformationIrréversible"/>.
Le terme est tout particulièrement utilisé dans les [[années 2010]] : la disruption apparaît alors comme une règle majeure de l'économie à travers les succès des [[Voiture de transport avec chauffeur|véhicules de tourisme avec chauffeur]] (VTC), en particulier d'[[Uber]], des plates-formes d'hébergement à domicile comme [[Airbnb]], du [[financement participatif]] ou encore du [[Bitcoin]]<ref name="ImposeLoi"/>. Clayton M. Christensen souligne qu'elle est alors facilitée par les [[nouvelles technologies]] : <ref name="TransformationIrréversible"/>. Il estime cependant qu'Uber ne relève pas vraiment du modèle disruptif<ref name="ExpliquéCréateur"/>.
Marc Mousli, enseignant et consultant, indique en 2015 que Il cite comme <ref name="TerroriseGrandesEntreprises"/>.
''Le Monde'' relève en 2017 que <ref>Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>.
[[Bernard Stiegler]] publie un ouvrage sur le sujet en 2016. Tout en qualifiant la disruption de <ref>Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2) juillet 2016 |site=liberation.fr |consulté le=20 janvier 2018}}.</ref>, il juge <ref>Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>. [[Alexandre Moatti]] lui reproche de , en particulier celle de l'[[État islamique (organisation)|État islamique]], et ainsi de <ref></ref>.
== Usage pour l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République ==
Le terme est fréquemment utilisé dans la presse pour évoquer l'[[élection présidentielle française de 2017|élection]] d'[[Emmanuel Macron]] à la présidence de la République en 2017<ref>Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>, puis le succès de [[La République en marche !]] lors des [[élections législatives françaises de 2017|élections législatives qui suivent]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>. Dans un article de ''Libération'', [[Jean-Marie Dru]] reprend lui-même cette analogie et estime qu'<ref>Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>. Conseiller de chefs d'entreprise, François-Xavier Oliveau estime que cette élection <ref>Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>. Le terme donne ainsi son titre à l'ouvrage collectif ''Le Vote disruptif'' (Presses de Sciences Po), dirigé par [[Pascal Perrineau]] ; ce dernier considère que caractérise fortement non seulement la stratégie mise en place par Emmanuel Macron depuis avril 2016 et la création du mouvement En marche ! mais aussi les comportements et attitudes de nombre d'électeurs qui ont profondément bouleversé, au cours de la séquence électorale d'avril-juin 2017, le système politique et ses « fondamentaux}}<ref></ref>. Il souligne par ailleurs que <ref>Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>. Emmanuel Macron utilise lui-même le terme en 2015, déclarant que <ref name="TerroriseGrandesEntreprises">Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).</ref>.
== Bibliographie ==
* |titre=Disruptive Technologies: Catching the Wave |périodique=[[Harvard Business Review]] |volume= |numéro= |date=janvier-février 1995 |pages= |issn= |lire en ligne=http://ift.tt/1zx603H |consulté le=20 janvier 2018 |id= }}.
*.
* |titre= |sous-titre=When New Technologies Cause Great Firms to Fail |éditeur=Harvard Business School Press |collection= |lieu=Boston |année=1997 |pages totales= |passage= |isbn= |lire en ligne= }}.
*.
*Liquid error: wrong number of arguments (1 for 2).
*.
== Voir aussi ==
*[[Disruption (tokamak)]]
*[[Technologie de rupture]]
*[[Destruction créatrice]]
== Références ==
[[Catégorie:Innovation]]
[[Catégorie:Politique de produit]]
[[Catégorie:Présidence d'Emmanuel Macron]]
[[Catégorie:Années 2010]]
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