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Paul Véronge de la Nux
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Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)|lieu de décès=[[Paris]], |lieux de résidence=|activité principale=[[Compositeur]], Inspecteur de l'éducation musicale|tessiture=|style=|genre=|scènes=}}
'''Paul Véronge de la Nux''' est un [[pianiste]] et [[compositeur]] français né le à [[Fontainebleau]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> et mort le à [[Paris]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>.
== Biographie ==
Fils de Marc Véronge de la Nux, qui sera professeur de piano d'[[André Gide]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>, Paul baigne enfant dans la musique et prend ses premières leçons auprès de son père<ref name=":0"></ref>. Il entre ensuite au [[Conservatoire national supérieur de musique et de danse|Conservatoire de Paris]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>, où il est l'élève de [[Georges Mathias (musicien)|Georges Mathias]] en piano et de [[François Bazin]] en composition. Premier accessit d'[[Harmonie tonale|harmonie]] et accompagnement<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> ainsi que deuxième accessit de piano<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> en 1870, il obtient un premier prix de [[Contrepoint rigoureux|contrepoint]] et [[fugue]] en 1872<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>.
En 1874 il se présente au concours du [[Prix de Rome]] et est récompensé d'un premier Second Grand prix<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>. En 1876 il est lauréat du Premier Grand prix, qu'il partage avec [[Paul Hillemacher]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>, pour sa [[cantate]] ''Judith'', sur des paroles de Paul Alexandre.
Comme [[Envoi de Rome|envois de Rome]] il écrit<ref></ref> : une ''Ouverture symphonique'' ainsi que des fragments de deux opéras, ''David Rizzio'' (1877) et ''Lucréce'' (1878).
À son retour de la [[Villa Médicis]] en 1881, il est [[chef de chant]] au [[Théâtre de la Renaissance (Paris)|théâtre de la Renaissance]].
En 1903, il est nommé Inspecteur de l'enseignement musical à la suite de [[Gustave Canoby]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> et le restera jusqu'à sa retraite en 1925. Il sera remplacé à ce poste par [[Paul Vidal]]<ref name=":0" />.
Comme compositeur, il est l'auteur de nombreuses mélodies, de pièces pour piano et de musique de chambre, et d'un grand opéra créé le 28 mai 1890 à l'[[Opéra de Paris]], ''Zaïre''<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>.
Il est nommé chevalier de la [[Ordre national de la Légion d'honneur|Légion d'honneur]] en 1892<ref></ref>.
== Œuvres ==
[[Fichier:Théâtre_de_l'Opéra_Zaïre_de_Véronge_de_la_Nux.jpg|vignette|La mort de Zaïre, acte 2 scène 8, de l'opéra ''Zaïre'' de Véronge de la Nux, 1890.]]
Parmi ses œuvres figurent notamment<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> :
* ''10 mélodies'' pour chant et piano, en recueil
* plusieurs autres mélodies
* ''3 pièces'' pour piano
* ''Suite orientale'' pour piano à 4 mains
* ''Solo de concours'' pour trombone avec accompagnement de piano, morceau de concours du Conservatoire en 1900<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>
* ''Morceau de concours'' pour clarinette avec accompagnement de harpe ou piano, morceau de concours du Conservatoire en 1906<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>
* Musique de scène pour ''Isora'', drame d'[[Adolphe Aderer]] représenté en 1895 au [[théâtre de l'Odéon]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>
* ''Zaïre'', opéra en 2 actes, sur un livret d'[[Édouard Blau]] et Louis Besson, d'après [[Voltaire]], joué plus de 10 fois à l'Opéra de Paris<ref></ref>
== Distinctions ==
* [[1892]]
== Notes et références ==
== Liens externes ==
*
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*
'''Paul Véronge de la Nux''' est un [[pianiste]] et [[compositeur]] français né le à [[Fontainebleau]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> et mort le à [[Paris]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>.
== Biographie ==
Fils de Marc Véronge de la Nux, qui sera professeur de piano d'[[André Gide]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>, Paul baigne enfant dans la musique et prend ses premières leçons auprès de son père<ref name=":0"></ref>. Il entre ensuite au [[Conservatoire national supérieur de musique et de danse|Conservatoire de Paris]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>, où il est l'élève de [[Georges Mathias (musicien)|Georges Mathias]] en piano et de [[François Bazin]] en composition. Premier accessit d'[[Harmonie tonale|harmonie]] et accompagnement<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> ainsi que deuxième accessit de piano<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> en 1870, il obtient un premier prix de [[Contrepoint rigoureux|contrepoint]] et [[fugue]] en 1872<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>.
En 1874 il se présente au concours du [[Prix de Rome]] et est récompensé d'un premier Second Grand prix<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>. En 1876 il est lauréat du Premier Grand prix, qu'il partage avec [[Paul Hillemacher]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>, pour sa [[cantate]] ''Judith'', sur des paroles de Paul Alexandre.
Comme [[Envoi de Rome|envois de Rome]] il écrit<ref></ref> : une ''Ouverture symphonique'' ainsi que des fragments de deux opéras, ''David Rizzio'' (1877) et ''Lucréce'' (1878).
À son retour de la [[Villa Médicis]] en 1881, il est [[chef de chant]] au [[Théâtre de la Renaissance (Paris)|théâtre de la Renaissance]].
En 1903, il est nommé Inspecteur de l'enseignement musical à la suite de [[Gustave Canoby]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> et le restera jusqu'à sa retraite en 1925. Il sera remplacé à ce poste par [[Paul Vidal]]<ref name=":0" />.
Comme compositeur, il est l'auteur de nombreuses mélodies, de pièces pour piano et de musique de chambre, et d'un grand opéra créé le 28 mai 1890 à l'[[Opéra de Paris]], ''Zaïre''<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>.
Il est nommé chevalier de la [[Ordre national de la Légion d'honneur|Légion d'honneur]] en 1892<ref></ref>.
== Œuvres ==
[[Fichier:Théâtre_de_l'Opéra_Zaïre_de_Véronge_de_la_Nux.jpg|vignette|La mort de Zaïre, acte 2 scène 8, de l'opéra ''Zaïre'' de Véronge de la Nux, 1890.]]
Parmi ses œuvres figurent notamment<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref> :
* ''10 mélodies'' pour chant et piano, en recueil
* plusieurs autres mélodies
* ''3 pièces'' pour piano
* ''Suite orientale'' pour piano à 4 mains
* ''Solo de concours'' pour trombone avec accompagnement de piano, morceau de concours du Conservatoire en 1900<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>
* ''Morceau de concours'' pour clarinette avec accompagnement de harpe ou piano, morceau de concours du Conservatoire en 1906<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>
* Musique de scène pour ''Isora'', drame d'[[Adolphe Aderer]] représenté en 1895 au [[théâtre de l'Odéon]]<ref>Liquid error: wrong number of arguments (given 1, expected 2)</ref>
* ''Zaïre'', opéra en 2 actes, sur un livret d'[[Édouard Blau]] et Louis Besson, d'après [[Voltaire]], joué plus de 10 fois à l'Opéra de Paris<ref></ref>
== Distinctions ==
* [[1892]]
== Notes et références ==
== Liens externes ==
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